XYZ Technologie Culturelle est désignée PME du mois d’août au concours PME en lumière de l’Association québécoise des technologies (AQT). Le concours fait rayonner les PME du milieu technologique qui se démarquent par leur croissance et leur stratégie de commercialisation. La PME de l’année sera annoncée le 25 octobre prochain dans le cadre de l’événement Big Bang organisé par l’AQT. Le jury, composé de représentants des affaires et du secteur des technologies de l’information et des communications, aura à choisir parmi 9 candidates.
Un joueur important dans le milieu des technologies
« C’est un grand honneur que notre entreprise ait été sélectionnée comme PME du mois par l’AQT», affirme Jacques Larue, associé principal chez XYZ. « Je suis toujours impressionné de la qualité et de la créativité des compagnies spécialisées en technologie au Québec. Recevoir cette reconnaissance de l’Association nous positionne comme un joueur important dans la grande famille des entreprises technologiques québécoises. » L’AQT compte à elle seule près de 500 membres.
Une croissance soutenue
Fondée en 2006, XYZ connait une croissance soutenue depuis 2014, triplant ses effectifs pour passer à 60 employés permanents aujourd’hui. La firme mise sur des acquisitions et une croissance naturelle pour grossir ses rangs. Leader du marché de l’intégration audiovisuelle permanente et semi-permanente dans le milieu culturel, elle élargit graduellement cette expertise à d’autres marchés (corporatif, scolaire, architectural, etc.).
Cap sur le monde
XYZ, qui compte des bureaux à Montréal, à Québec et à Mérida au Mexique, réalise ses projets à travers le monde (Amériques, Europe, Moyen-Orient et Asie). L’entreprise s’est installée à Dubaï en décembre 2016 afin d’y développer le marché du Moyen-Orient, où son expertise est très en demande. « Il y a une conjoncture à Dubaï. Plusieurs projets nécessitant des connaissances pointues en intégration audiovisuelle sont en cours de développement. C’était une étape naturelle de s’y implanter pour se rapprocher de nos clients », explique Jacques Larue. « On compte continuer à exporter notre savoir-faire montréalais à travers le monde. »